Jean-Paul Trovero avec les salariés en grève de JC Decaux, Avenir

Un mouvement national de grève a été lancé sur l’ensemble du groupe JC Decaux, Avenir.
Depuis le 8 mars, 16 des 18 salariés de l’unité de Fontaine occupent leur établissement, pour une revalorisation substantielle de leurs salaires. Informé par un fontainois qui a vu des travailleurs bruler des palettes,  le Premier adjoint au maire de la ville de Fontaine, Jean-Paul Trovero s’est rendu sur les lieux.
Une délégation comprenant le Premier adjoint au Maire de Fontaine, Michel Barrionuevo, conseiller municipal de Sassenage, Floriane Benoit, secrétaire de la section de Fontaine du PCF et Antoine Matera du Parti de gauche, est venue apporter son soutien et son aide.

A la lecture du Figaro de ce jour et de BFM, les travailleurs ont appris le net rebond des profits de la société JC Decaux en 2010, avec 173,3 millions d’euros, un chiffre d’affaire qui a progressé de 22,5% à 2,35 milliards d’euros, ainsi que des rumeurs circulant sur un possible rachat d’actifs de Clear Channel et CBS Outdoor.
Ces travailleurs, au nom du chantage à la crise économique, avaient accepté de se serrer la ceinture, mais là devant de tels résultats de l’entreprise, il n’est plus question d’accepter des évolutions salariales en dessous de l’évolution du coût de la vie.
Jean-Paul Trovero leur a parlé de son expérience de syndicaliste et de la nécessité d’extérioriser le combat. Des contacts ont été pris avec les médias: le Dauphiné Libéré, France 3,  France Bleu Isère qui ont promis de parler de cette action.

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Réunions Publiques sur Sassenage, Noyarey, Veurey et Fontaine

Les réunions Publiques de Jean-Paul TROVERO et
Carole FALCO-GUERAIN
Jeudi 10 mars à 18H30
Salle Jacques Prévert (rue du Moucherotte)
à Sassenage, avec la participation de Michel Barrionuevo, conseiller municipal
Vendredi 11 mars à 18H30
Salle du Rez de Chaussée de la mairie
de Noyarey

Jeudi 17 mars à 18H30
Espace Michel Brunel – Bibliothèque 4 allée du Château
Veurey-Voroise
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Vendredi 18 mars 18H30
Salle du Centre social Romain Rolland
à Fontaine, avec la participation de:
Annie DAVID, sénatrice de l’Isère
Yannick Boulard, Maire de Fontaine

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Le vote anti-fatalité: Jean-Paul Trovero & Carole Falco-Guérain

Généreusement servi par la droite sarkozyste, le monde des affaires ne cesse de s’enrichir tandis que la majorité de la population est confrontée aux méfaits du système capitaliste. Décidément, rien ne va plus dans cette France qui pourtant fut celle des révolutions, des conquêtes sociales, des nationalisations et des droits de l’homme :
– Hausse des prix de la vie courante,
– Chômage endémique en augmentation constante,
– Dépeçage du système de santé publique, augmentation des cotisations des mutuelles, déremboursement de médicaments de première nécessité.
– Destruction accélérée des services publics (Poste, EDF, GDF, enseignement, justice…) sous l’impulsion des marchés financiers avec la complicité de l’Union Européenne et du Fonds monétaire international (FMI) présidé par le socialiste Dominique Strauss-Kahn.
– Démocratie sans cesse amoindrie, notamment avec la réforme des collectivités territoriales…
On voudrait nous faire croire que ces régressions, ces injustices, ces inégalités seraient indispensables, qu’il n’y aurait pas d’alternative. Nous devrions nous résigner, accepter l’irrémédiable, nous détourner des enjeux politiques.
C’EST FAUX !
D’autres choix sont possibles, comme fut possible à la Libération, dans une France exsangue, la création de la Sécurité sociale par le ministre communiste Ambroise Croizat. Il faut, pour y parvenir, que vous soyez toujours plus nombreux à manifester collectivement votre colère et votre volonté de changer radicalement cette société soumise aux intérêts du patronat.
Cette élection est une occasion de faire d’autres choix, en opposant au renoncement et à l’abstention le vote offensif
pour des candidats du PCF. Un Parti qui a toujours été à vos côtés pour refuser l’inacceptable et conquérir de nouveaux droits, de nouvelles avancées sociales.
Elire Jean-Paul Trovero et Carole Falco-Guérain c’est l’assurance que vos préoccupations seront prises en compte.

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DL du 25 janvier 2011- Ils ont fêté les 90 ans du PC

C’était en décembre 1920, lors du désormais célèbre congrès de Tours : le Parti communiste français naissait. La section locale Fontaine/Rive gauche du Drac a fêté cet anniversaire comme il se doit Samedi, la salle Edmond-Vigne a ainsi accueilli de très nombreux militants ou sympathisants, venus échanger autour d’un programme mi-politique, mi-festif.

Un film pour une vie
La projection du film « Walter, retour en résistance », de Gilles Perret, a lancé l’après-midi, avant le débat en présence, justement, de Walter Bassan, ancien résistant et « héros » du film. Haut-savoyard de 82 ans aujourd’hui, il fut déporté à Dachau en 1944, à 17 ans. Le film raconte son histoire, mais interroge surtout sur les idéaux du fameux « Conseil national de la Résistance » (CNR) : sont-ils toujours d’actualité ?

Résister ? «C’est toujours possible »
« Nous avons oublié de défendre les valeurs que le CNR nous imposait » a entamé Walter Bassan. Comme une explication à l’avènement du gouvernement actuel, aux préoccupations très visiblement éloignées de celle des communistes d’hier et d’aujourd’hui.
Comment, dès lors, regagner l’adhésion populaire ? « En terme de revendications; on peut trouver des convergences entre les militants, et avec les syndicats. Mais c’est plus dur pour ce qui est de la façon de se battre » a estimé Cédric Thuderoz (CGT).
« Je crois que le capitalisme met une telle pression sur la majorité de la population, que l’on a possibilité de faire avancer le front de gauche » a pour sa part jugé un militant. « Les partis politiques doivent agir avec les syndicats : contre les retraites par exemple, ils étaient unis » a rappelé un autre. « Il faut miser sur l’émotion, articulée sur le politique. C’est ce qu’a fait Sarkozy, on doit savoir le faire ! » entendait-on également. « Ce qui s’est passé (NDLR : la Résistance) peut se reproduire demain » a même assuré Walter Bassan Qui n’a rien perdu de son enthousiasme !
Isabelle CALENDRE

Avec un repas fraternel…

Après les riches échanges de l’après-midi, les participants ont pris place autour des tables dressées par les membres de la section locale du PCF, afin de partager un repas fraternel, qui a permis de déguster une solianka (parfaitement réussie par l’un des organisateurs, Laurent Jadeàu), et une tarte aux pommes en dessert. Un moment agréable, qui a donné occasion à tous de partager ainsi un moment d’échanges, de souvenirs mais aussi de projets avant la soirée spectacle.
La section locale du PCF a renoué ainsi avec les traditionnelles soirées familiales qui ponctuaient, alors, la vie des militants locaux et de leurs compagnons de route.
SC

… et un hommage à Jean Ferrat

Alain Hivert a son répertoire, ses chansons, mais depuis quelques années parcourt l’hexagone pour chanter le répertoire de Jean Ferrat. La rencontre a eu lieu dans cette Ardèche dont ils partageaient tous deux un amour profond. Alain Hivert a voulu faire que les chansons de son ami Jean Ferrat, qui ne souhaitait plus se produire sur scène, soient encore vivantes. Jean Ferrat l’avait autorisé à poursuivre cette initiative, après avoir assisté à son premier spectacle, à l’issue duquel il avait déclaré : « Je craignais le pire… j’ai eu le meilleur ! ». C’est sans aucun doute le sentiment partagé par l’auditoire, ce samedi en clôture de l’anniversaire du PCF.
Plus qu’un récital, plus que la reprise de chansons phares de ce compagnon de route fidèle des communistes, le récital intitulé « Qui vivra Ferrat » fut un grand moment de poésie, de flashs sur la vie de ce chanteur. Alain Hivert a livré quelques anecdotes, ponctuant les enchaînements par des phrases célèbres inspirées par Eluard, Aragon, et expliquant sa démarche en citant Jean Jaurès : « C’est en
allant vers la mer que le fleuve reste fidèle à sa source».

Et cette fidélité s’est retrouvée dans le ton, dans la voix, dans les commentaires si  bien que beaucoup de spectateurs ont cru revoir leur. « Jean » sur la scène. Antraigues, les parties de boules, la montagne ardéchoise, la France : tout un enchaînement bien mené, passant de l’émotionnel à la joie de vivre, à l’amour et à la révolte.

Si les poutres de la salle Edmond-Vigne n’ont pas craqué  comme celles en marronnier du grenier de la maison de Jean Ferrat, c’est le coeur de tous les présents qui a craqué, rappelant combien ce besoin de vivre ensemble dans un monde de paix, avec des valeurs simples de partage et d’égalité, était fort pour tous…

Serge CHALEON

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Clip: « Communiste » de Cyril Mokaiesh

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Paroles de la chanson:

Ça les perdra – De  mondialiser l’injustice – D’s’en asperger de bénéfices – Ça les perdra – De cocooner  le patronat – De « bouclieriser »  l’élite – Qui  t’embauche pas – Mais qui profite – De ses villas la la – A Ibiza c’est fantastique – Un bain de minuit dans le capital – Pendant qu’ t ‘as mal aux Assedics – Et moi…

J’suis communiste – A c’qui paraît – Rien d’héroïque – Oui mais – J’suis communiste – Quoi ça… Quoi ça… – Ça fait pas chic – Oula …

Ça les perdra – De vampiriser la révolte – De ratiboiser la culture – Pour t’ ramollir  toi qui taffe dur – Et te trainer ner ner – A l’usine de Cholet – Sur des machines à licencier – Mais moi…

J’suis communiste – A c’qui paraît – Rien d’héroïque – Oui mais – J’suis communiste – Quoi ça… Quoi ça… – Ça fait pas chic – Oula … – Li la la li la

Ça les perdra  comme on se perd – Ça les perdra de nous distraire – A vouloir tout repeindre en vert – A part l ‘Afrique – Pour ça la crise, c’est bien pratique…

J’suis communiste – A c’qui paraît – Rien d’héroïque – Oui mais – J’suis communiste – Et puis quoi,  et puis quoi – J’suis « dalai lamiste » – A peu près – « A bout d’ neriste » – Tu te doutais – J’suis « jeune  branleuriste » – Ok – « Fils  d’avocatiste » – Libanais – J’suis « cheguevariste » – S’te plait – « Nymphomaniste » – Vers juin juillet  – J’suis  « méfie-toitiste » – Sans arrêt – « Absurditiste » – « Suicidairiste » – Tu le croirais ?

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90 ans du PCF, l’introduction de Floriane Benoit

Il convient de valoriser la précieuse convergence des énergies qui ont permis que cette manifestation prenne forme et se déroule dans les meilleures conditions possibles.

Merci à nos deux invités qui ont sans hésiter accepté de participer à ce 90e anniversaire de la création du Parti communiste français en décembre 1920.

Walter Bassan est venu de sa Haute-Savoie où à 17 ans, membre de la Jeunesse communiste, il fut résistant à l’époque noire de l’occupation avant d’être arrêté et envoyé au camp de concentration de Dachau. Il est l’un des initiateur du rassemblement au plateau des Glières devenu annuel après que Nicolas Sarkozy ait tenté d’y détourner à son profit l’hommage à ceux qui sont morts pour les idéaux de la Résistance.

Alain Hiver est venu d’Ardèche pour rendre hommage à Jean Ferrat en interprétant les chansons de celui  qui fut pour lui un ami.

Cette initiative est d’abord et avant tout le fruit de l’activité militante collective des communistes de la section Fontaine/Rive gauche du Drac. Cela concerne la conception même de cette journée, qu’il ont voulue, à l’image de ce qui fonde la raison d’être du Parti communiste français, contestataire de l’ordre capitaliste, fraternelle, source de réflexion et d’échanges, ouverte à tous ceux qui refusent la fatalité et aspirent à un réel changement. Ils l’ont voulue aussi conviviale, génératrice d’émotions et de plaisirs partagés.

Avec la projection du film « Walter retour en Résistance » et le débat qui suivra, cette journée sera un moment d’incitation à la résistance et à la révolte. Résistance et révolte auxquelles nous incitent ceux qui se sont levés alors que l’oppresseur nazi tout puissant semblait triompher, tout comme  le peuple tunisien vient de se dresser contre la dictature et l’oppression sociale. Avec, hier comme aujourd’hui, en première ligne, la jeunesse. Le retour sur les valeurs et les choix politiques et économiques contenus dans le programme du Conseil National de la Résistance sera l’occasion de s’interroger sur la possibilité de poser les bases d’une société radicalement différente.

Avec le repas fraternel, la convivialité sera au rendez-vous, ce qui n’est pas anodin au moment où tout dans cette société en décomposition nous invite au repli sur soi. Merci à ceux qui en sont les maîtres d’œuvre, notamment notre camarade Laurent Jadeau qui s’est mis aux fourneaux pour préparer une « Solianka », spécialité qu’il a sans doute ramenée de son périple en vélo de l’été dernier dans des pays de l’Est, et, pour le dessert, le père d’un de nos jeunes adhérents.

Chacun comprendra enfin pourquoi nous avons choisi de clôturer la soirée en beauté avec un hommage à Ferrat, ce compagnon de route des communiste qui n’a cessé de chanter la liberté, la rébellion, la fraternité, l’amour et qui a fait descendre les poètes dans la rue et fait entrer la poésie dans le quotidien de notre peuple.

Je voudrais en conclusion, puisque c’est la naissance du Parti communiste que nous fêtons aujourd’hui, soumettre à votre réflexion quelques éléments d’analyse sur la situation économique  et sociale actuelle.

– Le premier concerne notamment les délocalisations et la mondialisation. « Poussé par le besoin de débouchés toujours nouveaux, le capitalisme envahit le globe entier. Il lui faut s’implanter partout, exploiter partout, établir partout des relations. Les vielles industries nationales ont été détruites et le sont encore chaque jour… A la place des anciens besoins, satisfaits par les produits nationaux, naissent des besoins nouveaux, réclamant pour leur satisfaction les produits des contrées et des climats plus lointains. A la place de l’ancien isolement des provinces et des nations se suffisant à elles-mêmes, se développent des relations universelles, une interdépendance universelle des nations« .

– Le second évoque les crises d’un système « devenu trop étroit pour contenir les richesses créées dans son sein » et qui tente de les résoudre « en détruisant par la violence une masse de forces productives et en conquérant de nouveaux marchés et en exploitant plus à fond les anciens« . Ce qui aboutit  « à préparer des crises plus générales et plus formidables et à diminuer les moyens de les prévenir... ». Parmi les conséquences, « la somme de labeur s’accroît… soit par l’augmentation des heures ouvrables, soit par l’augmentation du travail exigé dans un temps donné« .

– Troisième élément, l’élargissement à de nouvelles couches de travailleurs de la classe dite « prolétaire » : « petits industriels, artisans… tout l’échelon inférieur des couches moyennes de jadis tombent dans le prolétariat, de sorte qu’il se recrute dans toutes les classes de la population« . Avec cette conséquence : »Le mouvement prolétarien est le mouvement de l’immense majorité au profit de l’immense majorité« .

Que proposent d’original les communistes pour sortir de cette situation ? « Le communisme n’enlève à personne le pouvoir de s’approprier des produits sociaux : il n’ôte que le pouvoir d’asservir à l’aide de l’appropriation du travail d’autrui ». Parmi les mesures concrètes envisagées, des nationalisations : création « d’une banque nationale dont le capital appartiendra à l’Etat« , « placement entre les mains de l’Etat de tous les moyens de transports« .

Des mesures qui, avec d’autres, devraient ouvrir la voie au surgissement, « à la place de l’ancienne société avec ses classes et ses antagonismes de classes« , d’une « association où le libre développement de chacun est la condition du libre développement de tous« . Une conception qui s’inscrit en faux contre l’idée que le communisme nierait le rôle et la liberté de l’individu.

Pour parvenir à ce résultat, les communistes, qui « ne s’abaissent pas à dissimuler leur opinions et leurs projets (le renversement violent de tout l’ordre social passé)… travaillent à l’union et à l’entente des partis démocratiques« .

D’une actualité brûlante par delà quelques expressions typées, ces analyses sont extraites d’un texte écrit … en 1848 par Marx et Engels, « Le manifeste du Parti communiste ».

A vous de juger…

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Franc succès de la fête des 90 ans du PCF

Dans le cadre de la fête des 90 ans du Parti communiste français, les deux premiers temps forts ont été le visionnage du film « Walter, retour en résistance » suivi d’un débat. Autour de 150 personnes ont vu ou revu ce film poignant consacré à Walter Bassan, ancien résistant interné durant onze mois à Dachau. Un film qui allait servir de trame au débat ! Film menacé d’interdiction par le Président de l’Assemblée Nationale, Bernard Accoyer.
Un grand merci à Annie David, sénatrice de l’Isère et à Yannick Boulard, Maire de Fontaine pour leur participation à cette journée.
Au moment du débat, près de 200 personnes étaient présentes, ce qui constitue un franc succès de cette initiative !
La résistance, ce n’était qu’un petit noyau de la société, mais un noyau qui aura constitué le levain qui a fait monter la pâte. C’est cette résistance qui aura donné naissance au programme du Conseil national de la résistance; un programme baptisé « les jours heureux »! A l’école on étudie, Jeanne d’Arc, mais beaucoup trop peu, l’histoire contemporaine de la résistance, avec la participation des derniers témoins de cette période.
En quoi, ce qui a été possible à la libération, alors que la France était exsangue, ne le serait-il pas en 2011, alors que notre pays fait partie des premières puissances mondiales ?
Au cours du débat Walter Bassan rappellera qu’à la libération, le patronat qui en 1936 avait choisi plutôt Hitler que le Front Populaire, durant la guerre est resté la principale force de collaboration avec les nazis, d’où la fuite et son affaiblissement qui ont permis des conquêtes comme la sécurité sociale, les services publics, des droits nouveaux aux travailleurs, etc…
Interpellé par la salle, Jean Paul Trovero n’hésitera pas à dire que sur la question des droits de l’Homme, il n’a jamais hésité et n’hésitera pas à se remettre hors-la-loi pour la défense des sans papiers, par exemple !
Cette image du levain citée par Stéphane Hessel, un des initiateurs de la déclaration universelle des droits de l’homme, dans le film est un symbole puissant, lors d’une participation au Plateau des Glières en Haute Savoie.
Lorsque Jean Paul Trovero et Carole Falco-Guérain font de l’Humain, le ticket durable, ne sont-ils pas le levain des changements à opérer au sein du Conseil général ?

Vers 19 heures, nous avons accueilli les participant-e-s qui n’ont pu honorer de leur présence, les deux premières parties de cette initiative des 90 ans du PCF, pour partager le menu confectionné par Laurent Jadeau « Solianka », un plat typique de Russie, servi avant le tour de chant de Alan Hiver et son spectacle « Qui vivra Ferrat ».

Un spectacle de haute qualité, et vivant parce qu’associé aux événements de la vie. Un spectacle où les 200 personnes présentes, parties prenantes, n’hésitaient pas à reprendre en chœur les chansons de Ferrat.

A la sortie, nous avons recensé environ 300 personnes qui ont participé à cette fête, personnes venant des cantons de Fontaine, de St Martin d’Hères, du Grésivaudan, etc…  les mots revenant le plus souvent à la sortie était « bravo » et « merci pour cette journée ».

Ci-dessous en images, le diaporama de cette manifestation

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